jeudi 31 mars 2011

Horas ne numerem nisi serenas

 

avenue Félix Faure


Le lycée Masséna est un établissement français d'enseignement secondaire et supérieur, situé au 2 avenue Félix-Faure à Nice. Le lycée est surtout réputé pour ses classes préparatoires aux grandes écoles.

Il accueille environ 1 650 élèves répartis comme suit : 900 élèves de la seconde à la terminale et 750 étudiants de classes préparatoires.

Le lycée est aussi renommé pour son architecture comportant de nombreuses mosaïques, des jeux de toits, une certaine influence italienne ainsi que la tour de l'horloge, symbole du lycée. Sur le cadran de cette dernière est inscrite la devise du lycée : Horas ne numerem nisi serenas, « Je souhaite ne compter que les heures heureuses »  (source : Wikipédia) 

Du cordon de galets

  

Plage du Centenaire


Les cordons de galets de la Baie des Anges menacés aujourd'hui par l'érosion, protègent la zone fortement urbanisée de Nice contre la mer. Datés de 3000 ans B.P. (before present) à l'Actuel, ces dépôts, qui bordent une marge côtière raide et étroite avec un plateau continental quasi-inexistant, appartiennent à un prisme de haut niveau holocène et ont été formés à partir d'apports de sédiments fluviatiles riches en éléments grossiers. Un fort ralentissement de la transgression marine vers 4000 ans B.P. et, depuis, l'érosion torrentielle des versants de l'arrière-pays ont été favorables à une accumulation de près de 15 m de sédiments dans les plaines fluvio-deltaïques dont les chenaux étaient riches en galets entraînés vers la mer en période de crue. Le développement des cordons, issus de sédiments de ce prisme de haut niveau, a pu être intermittent durant la transgression. Les cordons reposent soit sur des conglomérats plio-quaternaires, soit sur des vases sableuses de remblai des vallées et des dépressions côtières. Leur alimentation en sédiments était assurée par une dérive littorale bidirectionnelle, la Baie des Anges étant exposée à des vagues dont la provenance s'étend dans un quadrant allant de l'Est au Sud-Ouest. Les caractéristiques morphologiques de ces cordons - configuration arquée en plan, largeur modérée, et épaisseur variable - sont le résultat du jeu entre ces paramètres dynamiques et plusieurs autres facteurs, notamment la position des embouchures fluviatiles, les apports sédimentaires, et, aussi bien la topographie héritée que le remblai côtier holocène. La progradation des cordons a été fortement limitée par la proximité du plateau continental raide. Dans ce contexte contraignant, ces cordons ont évolué vers des formes stables grâce à un bilan sédimentaire équilibré, un régime dynamique de tempêtes à fetch limité, et un niveau marin relativement stable. Par ailleurs, un tri sélectif, conduisant à un enrichissement en galets, a renforcé cette stabilité. Des pertes de sédiments au large étaient compensées par des apports fluviatiles, maintenant ainsi l'équilibre sédimentaire de ces cordons qui présentent des plages très réfléchissantes. Depuis un siècle, de nombreux aménagements anthropiques ont perturbé la dynamique sédimentaire de ces dépôts, entraînant une désorganisation morphologique et texturale, et une érosion très inégale, que des rechargements pallient à peine. L'optimisation de ces rechargements doit passer par une bonne compréhension des modalités de mise en place et des processus morphodynamiques de démantèlement de ces cordons. Ces processus restent encore à mieux éclairer (source : Persée)

lundi 28 mars 2011

L'Eglise Notre-Dame-du-Port

  

Le Port

L’église Notre-Dame-du-Port à Nice, dite aussi église de l'Immaculée Conception, est située place Île-de-Beauté, dans le quartier du port Lympia. Elle a été construite de 1840 à 1853, selon les plans de l'architecte Joseph Vernier, concepteur de l'ensemble de la place Île-de-Beauté. Débutée en 1840, date de la pose de la première pierre, la construction dut être recommencée, le bâtiment presqu'achevé s'étant écroulé en 1845.

Le style est néoclassique. La façade avec des colonnes a été rajoutée en 1896 par l'architecte Jules Fèbvre. L'église est inscrite comme monument historique depuis 1991, en tant qu'élément de l'ensemble architectural construit au XIXe siècle place Île-de-Beauté (source : Wikipédia)

mercredi 23 mars 2011

L'Eglise russe



Parc impérial

La cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas est une cathédrale orthodoxe russe, située boulevard Tzarévitch à Nice. Elle est classée monument historique par arrêté du 11 août 1987.

En raison de l'importance de la communauté russe installée à Nice au cours de la deuxième partie du XIXe siècle, il fut décidé la construction d'une église russe dans la ville. La tsarine Alexandra Fedorovna lança une souscription dès 1856 et l'église Saint-Nicolas-et-Sainte-Alexandra, fut inaugurée rue Longchamp, en 1859. Elle est alors la première église russe d'Europe de l'Ouest. Mais rapidement, elle devint trop petite pour la colonie russe qui ne cessait de grandir.
Le besoin d'un nouveau lieu de culte se faisait sentir. En 1903, dans le parc Bermond, débuta la construction d'une cathédrale. C'est à cet endroit qu'en 1865, le tsarévitch Nicolas Alexandrovitch, fils d'Alexandre II, s'était éteint à l'âge de vingt ans des suites d'une méningite, alors qu'il séjournait à la villa Bermond que son père avait louée. Peu de temps après, celui-ci acheta le parc, rasa la villa et fit édifier une chapelle en hommage à son fils, à l'endroit exact où ce dernier était mort. C'est à proximité de cet oratoire que la cathédrale fut bâtie. Elle est inaugurée en 1912 (source : Wikipédia)

mardi 22 mars 2011

Village perché sur lit de mimosa



Apricale

Apricale est une commune italienne de la province d'Imperia dans la région Ligurie en Italie. Le village médiéval est situé dans l'arrière-pays de Bordighera, dans la vallée du Merdanzo, affluent de la Nervia au pied du Mont Bignone (1 299 mètres), à 13 kilomètres de la Riviera di Ponente et à 52 km de la capitale provinciale, Imperia.

L'origine du village semble remonter à l'âge du bronze (sépultures de Pian del Re). Officiellement, le village a été fondé au Xème siècle par les Comtes de Vintimille, puis passa en 1276 aux Doria, seigneurs de Dolceacqua. En 1267, le village se dote d'un statut, parmi les plus anciens de Ligurie, et devient une commune libre. En 1573, les Grimaldi de la principauté de Monaco détruisirent le château construit par les Doria. Après l'invasion française de 1794, menée par Napoléon Bonaparte, c'est l'annexion de la République ligure à l'Empire français. A la chute de celui-ci, la commune passe au Royaume de Piémont-Sardaigne (1815) puis au Royaume d'Italie en 1861 
(source : Wikipédia)